Ian, qui est né près de Dublin, en Irlande, au mois de mars 1929, a joué durant plusieurs années avec Grasshoppers H.C. à son arrivée à Vancouver, avant de s’aligner avec la Colombie-Britannique puis avec le Canada en 1962. Cette année-là, un match international a été disputé à New York contre les États-Unis, celui-ci se soldant par une victoire de 1-0 du Canada.
L’année suivante, en 1963, l’équipe canadienne s’est rendue à Lyon, en France, pour disputer un tournoi de trois matchs contre les États-Unis, dont le vainqueur allait se qualifier pour les Jeux olympiques de 1964 à Tokyo. Le Canada s’est qualifié et le défenseur Ian Johnston a marqué un des trois buts de la formation canadienne contre les Américains.
En raison d’une situation familiale, le « Roi », comme le surnommaient plusieurs de ses amis au hockey, n’a pas été en mesure d’assumer les tâches de capitaine, mais il a été un élément-clé de l’équipe canadienne olympique en 1964. Par la suite, Ian a été cocapitaine de l’équipe canadienne des Jeux panaméricains de 1967 à Winnipeg, où le Canada a fini quatrième.
Ian laisse dans le deuil son fils, Alan, et ses trois filles, Adele, Anne et Kay, ainsi que quatre petits-enfants, Ryan, Rebecca, Lucas et Megan, à qui il manquera beaucoup. Son épouse Martha a toujours grandement soutenu Ian dans sa carrière au hockey. Après avoir pris sa retraite du hockey, Ian a beaucoup joué au golf et il est resté ami avec ses camarades du hockey jusqu’à la fin de sa vie.
Ses nombreux amis du hockey n’oublieront jamais tous les bons moments qu’ils ont eus parce qu’ils ont eu la chance de connaître le Roi.
Repose en paix, Ian.